L’endos du livre le présente de cette manière :
Dieu déclare expressément qu’il est attiré par celui qui est humble. Il manifeste aussi en termes clairs son opposition à l’endroit de l’orgueilleux. L’humilité et l’orgueil ne peuvent coexister. L’une de ces attitudes doit inévitablement capituler devant l’autre.
Laquelle de ces voies poursuivrez-vous ?
Et voici un extrait :
Vous vous êtes peut-être demandé pourquoi votre temps de communion avec Dieu le matin ne semble vous alimenter que pour une heure environ. J’ai appris à ne pas m’attendre à ce que les sentiments que j’ai éprouvés durant mon temps de culte personnel matinal me soutiennent encore l’après-midi, à quatorze heures trente. Non, car il est certain qu’avant qu’il ne soit quatorze heures trente, quelqu’un sera venu me confier un quelconque souci (il est plus probable que plusieurs personnes l’auront fait). Ce fait exige que je m’approche délibérément du Seigneur afin de me décharger sur lui de tous ces soucis.
Je dois me rappeler qu’à chaque fois que je me sens enseveli sous le poids de tant de soucis, ce sont mon orgueil et mon autosuffisance qui en sont responsables. Je dois faire un effort pour délibérément et expressément me décharger de mes soucis sur lui et ainsi m’humilier.
Ne vous méprenez pas. Dieu n’est allé nulle part. Quand se suis enseveli sous le poids des soucis. Dieu est aussi souverain, aussi bon et aussi fidèle qu’il ne l’était au petit matin lorsque j’étais en communion avec lui. Dieu n’est pas la source du problème. C’est mon orgueil qui résiste à lui faire confiance et à dépendre de lui.
Mes commentaires personnels :
Plusieurs auteurs célèbres, comme Jerry Bridges, Randy Alcorn, John MacArthur et plusieurs autres, ont donné de très bons commentaires sur ce petit livre.
La photo de l’auteur (C.J. Mahaney) apparaissait à l’endos du livre et lorsque je l’ai vu, il ne me disait rien… ni son nom, ni son visage ne me disait rien… me laissait même indifférente. Lorsque j’ai eu fini de lire ce livre, j’ai regardé à nouveau le visage de cet homme de Dieu… et je l’aimais. J’aurais voulu le connaître… être avec lui pour lui parler de Notre Dieu.
Je ne crois pas que vous puissiez non plus, rester indifférent aux propos tenus par cet auteur… Vous m’en donnerez des nouvelles (si vous en avez la chance).