L’endos du livre le présente de cette manière :
Veufs, divorcés, séparés : vers une nouvelle étape.
Après avoir connu pendant des années la vie à deux, voilà que tout bascule et on se retrouve de nouveau seul(e).
Comment réagir à ce qui nous arrive ?
Comment gérer sa solitude ?
Éviter les fausses pistes ?
Vivre dans le présent et envisager l’avenir ?
Reconstruire sa vie selon le plan de Dieu ?
Ce livre est à la fois le témoignage d’une expérience et celui du vécu d’autres personnes.
Voici quelques extraits du livre :
… Lorsque nous sommes seul(e), écoutons notre voix intérieure : dit-elle que nous sommes libres ou malheureux? Haïssons-nous notre solitude et n’aspirons-nous qu’à en sortir? Alors nous risquons de chercher à nous remarier à n’importe quel prix (et avec n’importe qui ?). Ou bien cherchons-nous à l’apprivoiser, voire à l’aimer ? Si nous devons nous remarier un jour, nous avons grand intérêt à régler auparavant ce problème du sentiment de solitude si nous ne voulons pas le retrouver dans le mariage.
… Parfois, surtout lorsque vous êtes seul(e) chez vous un jour de pluie, les pensées vous submergent à un point tel que vous vous sentez sans force. Vous avez le sentiment d’être indigne et sans substance. Vous avez mis tout votre cœur dans ce désir de relation et parce que celle-ci vous échappe, vous vous sentez complètement vidé(e)… Avec vos yeux tellement centrés sur ce désir, vous êtes incapable de servir le Christ ou même de mieux le connaître. Ce désir vous ravit jour après jour la joie, la force, la victoire. Ce que vous pouvez faire, c’est imiter cette femme : « enterrer ce désir au pied de la croix ». Cela ne veut pas dire renoncer pour toujours au désir de vous marier, mais le garder dans une juste perspective sous la seigneurie de Jésus-Christ.
Mes commentaires personnels :
J’avoue que ma préférence pour ce genre de lecture irait pour le livre « La solitude » de Élizabeth Elliott… mais, je dois aussi être honnête en affirmant que j’ai retiré de très bons arguments de ce petit livre plein de sagesse de M. Kuen. Je n’hésiterais pas à le recommander aux personnes qui « redeviennent » seules.