L’endos du livre le présente de cette manière :
Surmonter la pression exercée par les pairs, la dépendance affective et la crainte des hommes.
« Avoir moins besoin des gens et les aimer davantage. ». C’est le défi que nous propose l’auteur… Il évoque la tendance que nous avons à craindre les autres, à nous laisser contrôler et maîtriser par eux, à dépendre d’eux pour ces choses que Dieu seul peut nous donner… Welch propose un antidote : la crainte de Dieu… la réponse du croyant à la puissance, à la majesté et non la moindre, à la miséricorde de Dieu (Dallas Morning News).
« Biblique et pratique. Le lecteur n’a pas nécessairement besoin d’être victime de pressions exercés par ses pairs, ni d’être dépendant sur le plan affectif pour profiter de cet ouvrage. Ce livre nous ouvre les yeux et nous redirige vers Dieu et Sa Parole afin de surmonter la crainte des hommes » (The Baptist Bulletin).
« Notre génération a vraiment besoin d’un livre comme celui-ci. Agréable à lire, il peut très bien servir à l’école du dimanche ou pour une étude biblique à la maison. Voici un ouvrage qui devrait se retrouver dans toutes les bibliothèques d’églises et les tables de livres. Le thème abordé est actuel. La solution qu’il présente est biblique » (The Presbyterian Witness).
« …bibliquement rafraîchissant… débordant d’idées utiles, facile à lire et pratique.» (John MacArthur).
« Ed. Welch est un bon médecin de l’âme. ce livre est instructif, convaincant et encourageant. Je le recommande vivement.» (Jerry Bridges)
« Agréable à lire et rafraîchissant… s’attaque au cœur du problème qui paralyse l’Église. Expose et répudie les propos de la thérapie théologique avec sagesse et compassion.» (Susan Hunt).
Voici quelques extraits du livre :
À quoi ressemble la crainte du Seigneur ? Elle aime le bien et déteste le mal. « La crainte de l’Éternel, c’est la haine du mal », c’est faire confiance à Dieu (le respecter) et Lui obéir. Parvenez-vous à saisir que la crainte du Seigneur est une bénédiction ? Essayez d’imaginer les implications de la haine réelle du péché, à commencer par le nôtre, puis ceux des autres. Qu’adviendrait-il des disputes conjugales ? Elles seraient presque impossibles. Les époux seraient trop occupés à écouter et à demander pardon pour leur propre égoïsme. Et qu’adviendrait-il des petites cliques dans la cours de récréation ? Elles rapporteraient les bonnes actions d’une autre personne. Et que se passerait-il lorsqu’un péché serait commis contre nous ? Nous ne serions plus obligés d’assassiner la personne dans notre cœur. En revanche, nous pourrions couvrir le péché dans l’humilité et l’amour, ou affronter la personne dans le même esprit.
… Être gentil et « Le sacrifice de soi » ne sont pas nécessairement synonymes d’amour. Il peut s’agir de moyens que nous utilisons en vue d’établir notre propre importance et notre identité et non d’expressions créatives d’amour envers autrui.
Mes commentaires personnels :
Ce livre a été d’une importance capitale pour moi, dans la compréhension de la « crainte de Dieu » que j’imaginais tout autrement. C’est définitivement le genre de livre qu’on se doit de relire plus d’une fois, tellement il contient de grandes vérités.