Esclave (de John MacArthur)

La vérité cachée au sujet de votre identité en Christ

L’endos du livre le présente de cette manière : Il y a des siècles, les traducteurs anglais et français ont introduit une erreur dans le Nouveau Testament.  Depuis, elle a été intentionnellement masquée et dissimulée. Votre propre Bible participe probablement à ce complot !

Dans ce livre, John MacArthur dévoile clairement le nœud qui vous empêche peut être d’entretenir une relation épanouissante et juste avec Dieu.  L’ouvrage est solide. Il va au fond des choses.  Avec un regard nouveau, vous découvrirez les richesses de votre salut d’une manière radicalement différente.

Que signifie être chrétien au sens où Jésus l’entend ? MacArthur déclare que cela se résume à un mot : ESCLAVE

‘’Nous avons été rachetés à un grand prix.

Nous appartenons à Christ.

Nous sommes sa possession.’’

Et voici un extrait : Depuis l’Exode jusqu’à l’Exil et même après, l’identification du peuple d’Israël à des esclaves de Dieu fait partie intégrante de l’histoire de la nation.  De nombreux héros d’Israël, notamment Abraham, Moise, Josué, David, Elie et les prophètes sont clairement désignés comme des esclaves de Dieu.

Jésus s’est aussi servi du langage de l’esclavage pour bien préciser ce qu’impliquait le fait de le suivre.  Tout comme la vie de l’esclave, celle du disciple inclut un renoncement total à soi-même, des dispositions d’humilité à l’égard d’autrui, un attachement sans réserve au Maître et à lui seul, un désir d’obéir à ses commandements en toutes choses, une promptitude à le servir même en son absence et la motivation de savoir que cela lui est agréable.

Mes commentaires personnels : Dans son livre, John MacArthur offre un aperçu révélateur sur notre relation au Seigneur Jésus. Le mot esclave, dans plusieurs textes de la Parole, est souvent traduit  par le mot serviteur. Et il explique clairement la différence entre un serviteur et un esclave qui change du tout au tout notre perception des textes et comment nous devrions être béni d’être esclave du Christ, et non plus esclave du péché.

Monique Héroux.